Il faut arrêter de parler de logement et ouvrir le débat sur l’habitat. L’approche logement date de l’après guerre et fait appel à des questions quantitatives, sanitaires et industrielles. Désormais, en grande majorité, les questions à régler sont sociales, sociétales, urbaines et environnementales.
Parler de logement amène à envisager l’habitat déconnecté de la ville et des habitants.
Habitat nécessite d’ouvrir les dossiers localement, de faire des choix décentralisés, d’opter pour des politiques variées, adaptées aux difficultés régionales et aux choix des élus locaux.